Bonjour , je souhaiterais intervenir sur le risque inondation .
Les plans de prévention des risques ne vont pas assez loin. On voit défiler les catastrophes naturelles comme dans la vallée de la Roya et on ajoute encore des constructions à risque.
L’agglomération Orléanaise doit stopper la construction en zone inondable. Certains PLU accordent la construction sans imposer de limite : comment les maisons mitoyennes laissent s’écouler l’eau du fleuve ?
Le val de la Loire doit être réservé à la végétalisation , parcs , culture maraichères si possible BIO et jardins partagés.
Au lieu de cela , les lotissements continuent à fleurir dans les communes du Val y compris les grandes surfaces goudronnées. Le projet CoMet en est encore un exemple : on bétonne dans le lit de la Loire.

Bonjour , sur la thématique de la ville durable je voudrais faire une proposition concernant le problème du bruit et de la pollution bien sur.
Les élus pourraient attribuer les marchés publics à du matériel électrique et bannir définitivement les engins thermiques à moteur 2 temps de leurs équipements : supprimer tous les souffleurs , tondeuses , tronçonneuses et cyclomoteurs à moteur 2 temps .
Cela induira peut être quelques pertes de temps dans certains travaux mais ça vaut la peine de changer je crois.
Ces engins font un bruit colossal malgré la législation et polluent énormément par leurs émissions d’huile brulée par la combustion.
Il serait souhaitable que les entreprises privées suivent et que cette mesure aboutisse au niveau national…

Bonjour,
Deux propositions :
1) des collecteurs de biodéchets dans les 22 communes.
2) extinction de l’éclairage public (hors grands axes) lors des heures de faibles circulations.

Bonjour,
je n’ai pas pu participer à l’atelier solutions des 10 et 11 mai sur la Rénovation, et, comme convenu, je transmets les apports ci-dessous :
1)      Prise en compte dans les rénovations des périodes de canicules, qui seront de plus en plus longues – intenses – fréquentes : 
La conception des rénovations ne doit pas se focaliser seulement sur la réduction des besoins de chauffage en hiver mais aussi éviter / limiter les besoins de conditionnent d’air en été car ces équipements sont très énergivores (dans des périodes où la production électrique peut être perturbée par les sécheresse …), rejettent des calories le plus souvent dans l’air extérieur, augmentant la température urbaine, ainsi que des fluides (lors de pannes, fuites …) qui ont des propriétés d’effet de serre mille fois pires que le CO2.
Est-il possible d’intégrer des directives à ce sujet dans les documents d’urbanisme, portant en particulier sur le traitement des façades très exposées au soleil (obligation de pare-soleil, directives d’isolation, recommandations de végétalisation …) et sur les circulations naturelles de l’air intérieur
2) Utilisation des matériaux bio-sourcés dans les rénovations pour stocker du carbone à long terme et éviter d’en déstocker du sous-sol : se pose en particulier la question du surcoût des isolants et des habitudes de travail des entreprises.
Outre ce choix systématique dans les rénovations du secteur public, est-il possible d’introduire des directives à ce sujet dans les documents d’urbanisme et d’étudier des aides locales pour couvrir au moins en partie le surcoût dans les rénovations du secteur privé (à partir d’une certaine taille de projet ?.